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2025 – Defence

DEFENCE

CP06 – Défense ou Défaillance ?

Car l’OTAN compose. Lobby hétéroclite, panaché d’intérêts, incubateur d’urgences opportunes. Derrière le bouclier, des groupes de pression. Derrière la bannière, des contradictions.


La vraie question n’est pas combien investir – c’est contre quoi ou contre qui se défendre.
Le sol européen n’est plus le seul théâtre. La guerre commence avant les frontières. Elle est démographique, idéologique, ethnodynamique.

IMAGE (IA-inspiration « Citizen Kane »)

L’OTAN exhorte ses membres européens à hausser le ton budgétaire côté défense. Plus de millions, plus de muscles, plus de drapeaux. Mais derrière ce boom martial se cache un aveu d’impuissance structurelle : aucune garantie d’égalité dans les secteurs, ni sur l’achat de matériel, ni sur la répartition homme/femme dans les rôles de commandement. Pas même sur la logique des dépenses elles-mêmes.
Financer la salle de muscu des bidasses avec l’argent public, est-ce vraiment une priorité géostratégique ? Ou juste une rente symbolique pour des castes viriles en uniforme? La défense serait-elle devenue un business gymnocratique, sous couvert d’humanisme ?
Peut-on prétendre défendre un continent sans réguler sa natalité ? Sans établir un consensus démographique minimal – par exemple,
un enfant par femme, entre 30 et 35 ans, précédé d’un bilan complet, social, sanitaire, culturel ? Peut-on parler de sécurité collective en niant les pressions raciales, les flux non maîtrisés, les fractures internes amplifiées par la lâcheté normative ?
-> "1 enfant maximum par femme entre 30 et 35 ans après analyse cognitive, médicale, socio-économique".

Qu’est-ce que le « burden sharing » ? Depuis le 17ème siècle, le principall duo « USA et la préface de l’Union Europeenne  » finance la civilisation mondiale. Jusque que quand allons-nous porter ce globe de taille limitée qui observe depuis 1980, un excès démographique des anciens pays du tiers-monde et qui de surcroit s’abstiennent souvent de taxes comparables.


En un siècle, la démographie mondiale a explosé de manière asymétrique. Tandis que l’Europe et l’Amérique du Nord se stabilisaient, d’autres zones ont maintenu une croissance entre 3 à 10 fois supérieure. Cette dynamique aurait été entretenue, voire encouragée, par une économie parallèle fondée sur l’exploitation du nombre : aides sociales, flux migratoires, trafic humain, stratégies religieuses ou idéologiques. Depuis les années 70, une logique d’appât du gain démographique s’est substituée à une véritable politique de développement.