
CP06 – Défense ou Défaillance ?
Car l’OTAN compose. Lobby hétéroclite, panaché d’intérêts, incubateur d’urgences opportunes. Derrière le bouclier, des groupes de pression. Derrière la bannière, des contradictions.
La vraie question n’est pas combien investir – c’est contre quoi ou contre qui se défendre.
Le sol européen n’est plus le seul théâtre. La guerre commence avant les frontières. Elle est démographique, idéologique, ethnodynamique.
IMAGE (IA-inspiration « Citizen Kane »)
La vraie question n’est pas combien investir – c’est contre quoi ou contre qui se défendre.
Le sol européen n’est plus le seul théâtre. La guerre commence avant les frontières.
Elle est démographique, idéologique, ethnodynamique.
L’OTAN exhorte ses membres européens à hausser le ton budgétaire côté défense. Plus de millions, plus de muscles, plus de drapeaux. Mais derrière ce boom martial se cache un aveu d’impuissance structurelle : aucune garantie d’égalité dans les secteurs, ni sur l’achat de matériel, ni sur la répartition homme/femme dans les rôles de commandement. Pas même sur la logique des dépenses elles-mêmes.
Financer la salle de muscu des bidasses avec l’argent public, est-ce vraiment une priorité géostratégique ? Ou juste une rente symbolique pour des castes viriles en uniforme? La défense serait-elle devenue un business gymnocratique, sous couvert d’humanisme ?
Peut-on prétendre défendre un continent sans réguler sa natalité ? Sans établir un consensus démographique minimal – par exemple,
un enfant par femme, entre 30 et 35 ans, précédé d’un bilan complet, social, sanitaire, culturel ? Peut-on parler de sécurité collective en niant les pressions raciales, les flux non maîtrisés, les fractures internes amplifiées par la lâcheté normative ?
-> "1 enfant maximum par femme entre 30 et 35 ans
après analyse cognitive, médicale, socio-économique".
Qu’est-ce que le « burden sharing » ? Depuis le 17ème siècle, le principall duo « USA et la préface de l’Union Europeenne » finance la civilisation mondiale. Jusque que quand allons-nous porter ce globe de taille limitée qui observe depuis 1980, un excès démographique des anciens pays du tiers-monde et qui de surcroit s’abstiennent souvent de taxes comparables.
En un siècle, la démographie mondiale a explosé de manière asymétrique. Tandis que l’Europe et l’Amérique du Nord se stabilisaient, d’autres zones ont maintenu une croissance entre 3 à 10 fois supérieure. Cette dynamique aurait été entretenue, voire encouragée, par une économie parallèle fondée sur l’exploitation du nombre : aides sociales, flux migratoires, trafic humain, stratégies religieuses ou idéologiques. Depuis les années 70, une logique d’appât du gain démographique s’est substituée à une véritable politique de développement.